Histoire de corsaire
Tout peut-il être ramené à l’opéra ? Je vais finir par le croire : il ne se passe pas une journée sans que quelque chose ne fasse résonner en moi un air
d’opéra… Et j’ai des témoins !
Ce soir encore, un hasard du zapping, je tombe sur un vieux film des années 50, “The buccaneer“ (Les boucaniers) réalisé par Anthony Queen, avec Yul Brynner et Charlton Heston. Le film raconte un épisode de la vie du flibustier Jean Lafitte. Ce même Jean Lafitte qui allait inspirer l’un de ses plus célèbres poèmes à Lord Byron, “The corsair“. Le corsaire, voilà qui évoque quelque chose à l’amateur d’opéra ou de ballet !
Car c’est ce poème qui est à l’origine de “Il corsaro“ de Verdi et du “Coraire“, ballet dont les célèbres variations sont dansées lors de la plupart des grands concours de danse.
Plusieurs chorégraphes se sont intéressés à cette histoire, et le ballet tel que nous le connaissons aujourd’hui est le fruit de leurs créations successives à commencer par celle de Marzillier, en 1856, sur une musique d’Adolphe Adam. Quelques années plus tard, une reprise inclura de nouveaux passages musicaux dus à Léo Delibes. En 1868, c’est au tour de Marius Petipa de s’emparer du sujet avec, cette fois-ci, des musiques additionnelles de Léon Minkus. Et lorsqu’il remonte le ballet en 1899, il y intègre des mélodies de Cesare Pugni !
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Ce soir encore, un hasard du zapping, je tombe sur un vieux film des années 50, “The buccaneer“ (Les boucaniers) réalisé par Anthony Queen, avec Yul Brynner et Charlton Heston. Le film raconte un épisode de la vie du flibustier Jean Lafitte. Ce même Jean Lafitte qui allait inspirer l’un de ses plus célèbres poèmes à Lord Byron, “The corsair“. Le corsaire, voilà qui évoque quelque chose à l’amateur d’opéra ou de ballet !
Car c’est ce poème qui est à l’origine de “Il corsaro“ de Verdi et du “Coraire“, ballet dont les célèbres variations sont dansées lors de la plupart des grands concours de danse.
Plusieurs chorégraphes se sont intéressés à cette histoire, et le ballet tel que nous le connaissons aujourd’hui est le fruit de leurs créations successives à commencer par celle de Marzillier, en 1856, sur une musique d’Adolphe Adam. Quelques années plus tard, une reprise inclura de nouveaux passages musicaux dus à Léo Delibes. En 1868, c’est au tour de Marius Petipa de s’emparer du sujet avec, cette fois-ci, des musiques additionnelles de Léon Minkus. Et lorsqu’il remonte le ballet en 1899, il y intègre des mélodies de Cesare Pugni !
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