Relecture…
Pour ou contre les "relectures", les adaptations ou les "réactualisations" d'opéra ?
Le sujet est brûlant et, entre tenants de la tradition et partisans de ces nouvelles "visions", les débats sont vifs. Il y a, bien entendu, des excès dans les deux camps.
Pour ma part, je n'adhère pas au principe de la modernisation systématique sous prétexte que le public d'aujourd'hui ne comprend plus les intentions du librettiste, celles-ci étant forcément liées au contexte social ou politique de l'époque de la création. Certaines de ces relectures sont réussies et peuvent apporter un nouvel éclairage à l'œuvre, d'autres sont catastrophiques, voire ridicules... Un voici un bel exemple : Nabucco. Ici, Syvie Valayre interprète l'un des airs les plus difficiles du répertoire entourée de soldats babyloniens au look pour le moins surprenant ! Le massacre scénique est dû à Hans Neuenfels.
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Le sujet est brûlant et, entre tenants de la tradition et partisans de ces nouvelles "visions", les débats sont vifs. Il y a, bien entendu, des excès dans les deux camps.
Pour ma part, je n'adhère pas au principe de la modernisation systématique sous prétexte que le public d'aujourd'hui ne comprend plus les intentions du librettiste, celles-ci étant forcément liées au contexte social ou politique de l'époque de la création. Certaines de ces relectures sont réussies et peuvent apporter un nouvel éclairage à l'œuvre, d'autres sont catastrophiques, voire ridicules... Un voici un bel exemple : Nabucco. Ici, Syvie Valayre interprète l'un des airs les plus difficiles du répertoire entourée de soldats babyloniens au look pour le moins surprenant ! Le massacre scénique est dû à Hans Neuenfels.
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